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        4ème de couverture : Dix-neuf fois Colin est tombé amoureux.
    Dix-neuf fois la fille s'appelait Katherine.
    Pas Katie, ni Kat, ni Kittie, ni Cathy,
    et surtout pas Catherine, mais
    KATHERINE.

    Et dix-neuf fois, il s'est fait larguer.

     

        Mon avis : C'est un livre que j'ai eu très envie de découvrir dès sa sortie. Il m'intriguait avec sa jolie couverture somme toute, très étonnante. Et je ne suis pas déçue !

    L'histoire commence simplement, Colin, jeune surdoué, ne se remet pas d'une énième rupture donc son meilleur ami, Hassan, l'embarque avec lui pour une escapade en voiture sans destination précise. Bien sûr, ce road trip a pour but de remettre le jeune homme sur pied. Toutes ses rupture ont eu lieu avec une Katherine, presque toujours différentes. Il s'emploie donc à trouver un théorème qui pourrait prévoir la durée des relations amoureuses et celui qui y mettrait fin.

    J'ai lu Qui est-tu Alaska ? du même auteur il y a quelques années et même si j'en garde un souvenir très diffus, je sais que j'avais passé un très bon moment. Je ne suis pas déçue par ce bouquin qui ne me conforte que plus dans l'idée que j'avais de John Green, c'est un très bon auteur, avec une belle plume et de bonnes ressources ! Le roman est parsemé d'explications mathématiques mais elles ne sont jamais de trop et sont toujours accessible à tous (je ne suis pas brillante dans cette matière et pourtant j'ai compris la majorité de ce qui nous est expliqué ! ^^). Toutes les notes qui complètent le récit en bas de pages m'ont aussi beaucoup plu ! Ce sont des remarques du héros, sur ce qu'il pense, sur ce qu'il se passe et dont il ne peut parler dans le récit même par exemple.

    Ce roman est une belle leçon de vie qui met le doigt tout en douceur et simplicité sur le fait que l'avenir ne doit pas se prévoir et que l'amour ne se trouve pas forcément là où on l'attend mais bien où on ne l'espérait même pas.

    En bref, j'ai passé un très bon moment en compagnie de Colin, Lindsey et Hassan. J'ai beaucoup sourit, c'était une lecture sans prise de tête et c'est juste ce dont j'avais besoin !! C'est donc un mini coup de cœur ! :)

     

    Merci beaucoup Lilu60 pour ce LV !

     

    Editeur : Nathan

    Parution française : 2012

    Nb de pages : 280

    Prix : 14,50 €


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        4ème de couverture : Selon Rebecca Bloomwood, "si l'on pouvait porter des vêtements neufs tous les jours, la dépression nerveuse n'existerait plus". Droguée au shopping, notre héroïne s'expose à un nombre de tracas aussi impressionnant que le montant du relevé de sa carte de crédit. Témoin de la riche correspondance qu'elle entretient avec son banquier... Comble de l'ironie: Beckie est journaliste à Réussir vos épargnes, où son travail consiste à expliquer à ses lecteurs comment gérer leur budget. Les dettes s'amoncellent... Un dernier shopping pour se remonter le moral ? Impossible, toutes ses cartes sont bloquées. De solutions empiriques en effroyables mensonges, c'est la panique. De quoi miner aussi son début d'histoire d'amour avec le séduisant homme d'affaires Luke Brandon. A ce stade, une issue heureuse ne tiendrait-elle pas du miracle ?

     

        Mon avis : J'aime beaucoup la couverture de cette réédition !! Pas vous ?

     Cette histoire, c'est juste celle que tout le monde connait, non ? En tout cas, moi j'en ai beaucoup entendu parlé, j'ai vu le film, plusieurs fois et là, je me suis lancée et me suis procurée le livre. Eh bien, que dire... C'est très très différent de ce à quoi je m'attendais. Je me suis rendue compte que le film ne respectait pas du tout le fil du roman et j'ai eu un peu de mal à m'y faire. Un détail surtout m'a marqué, dans le livre, les faits se déroulent en Angleterre alors que dans le film, c'est à New York... A quoi doit dont cet énorme changement ?

    Mais au final, avec un peu de recul et après avoir revu le film, le roman m'a tout autant plu ! Le contexte est un peu différent, certains personnages n'ont pas les mêmes rôles (Tarquin notamment) et le livre est beaucoup plus orienté finances. Mais vraiment, c'est tout aussi bien ! Alors si vous avez vu le film et que vous hésitez à vous lancer dans la lecture du livre, allez-y ! Il faut un petit temps d'acclimatation mais au final, ça roule tout seul. On se plait rapidement à faire les boutiques avec Becky et à naviguer au grès de ses pensées. Luke Brandon quand à lui est juste parfait, agaçant quand il faut, charmant quand il le faut... On envierait presque (je dis bien presque, avoir des tonnes de dettes sur la tête, bof bof...) la place de Rebecca.

    En tout cas, c'est un bon chick-lit, c'est certain ! D'ailleurs, j'ai pouffé de rire du début à la fin. Sophie Kinsella sait nous faire rire et je comprend enfin pourquoi elle est si célèbre dans son domaine. J'ai maintenant hâte de découvrir la suite des aventures de l'accro au shopping !!

     

    Editeur : Pocket

    Parution française : 2012

    Nb de pages : 384

    Prix : 7,80 €


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        4ème de couverture :

     

        Mon avis : Y a pas à dire, je suis une romantique dans l'âme ! Ben oui, j'avoue que c'est la couverture et cette superbe 4ème qui ont attiré mon attention sur ce livre. Eh bien je ne suis pas déçue ! J'ai passé un très bon moment à découvrir l'histoire entre Min et Ed.

    Inventaire après rupture est un titre très bien trouvé, puisque ce bouquin est en fait la lettre (énorme !!) que Min adresse à son ex petit ami Ed, quelques temps après leur rupture. Elle lui explique pourquoi entre eux ça n'a pas marché en se servant d'une foule d'objet en rapport avec leur histoire, qu'elle a conservé au fil du temps et en faisant passer toute sorte de sentiments dans ses mots. Elle passe de la joie aux larmes, de l'amour à la haine, en passant par la jalousie notamment. 

    J'ai trouvé le concept vraiment original : la lettre est décomposé en chapitres qui commencent tous avec le dessin d'un objet. Ainsi nous pouvons mettre des images sur les mots de Min, sans nous contenter de les imaginer. J'ai adoré ce point là. Surtout que les dessins sont vraiment magnifiques et ont réellement l'air de sortir tout droit de cette grosse boîte souvenir. Le choix est judicieux et permet de donner plus de réalité que s'il s'était porté sur des photos. Ce qui est assez paradoxal au final, mais c'est vraiment l'impression que j'ai eu durant ma lecture.

    Par contre, j'ai regretté de ne pouvoir me faire une idée des deux personnages principaux. On en sais beaucoup sur eux, c'est vrai, mais rien sur leur physique. Même si certains détails nous donnent des pistes. Ed, le tombeur co-capitaine de l'équipe de basket du lycée, traduction, le mec le plus mignon de l'école, certainement blond. Et Min, la jeune fille qui ne se fait pas vraiment remarquer, vraiment fan de vieux films, meilleure amie d'un garçon, Al, qui est encore plus discret qu'elle mais entourée par quelques amies plus qu'excentrique, traduction, la fille jolie mais timide, très intelligente mais naïve, très probablement brune. Voyez comme une description de ces personnages m'a manqué !!

    Je reviens sur cette histoire de cinéma et de basket. Min et Ed ont chacun leur passion, on le comprend dès le début. Seulement j'ai trouvé dommage qu'elles empiètent tant sur le récit. La place qu'elles prennent m'ont empêché de m'identifier à l'un ou à l'autre des personnages. Du coup, je me suis retrouvée à naviguer entre les deux. Lorsqu'il s'agissait de cinéma, je m'identifiais à Ed (ou presque bien sûr...) qui n'y comprends rien et lorsque c'était le basket qui était mis en avant, j'étais repartie du côté de Min. Sur le coup c'est assez drôle de pouvoir comprendre l'un et l'autre par moment mais à force ça devient lourd.

    Sinon, j'ai beaucoup aimé l'histoire en elle-même. Le lien qui unit Min et Ed est beau même si par moment il fait cliché et que l'idée de leur rupture reste à l'esprit. C'est quand même bien amené et à aucun moment je n'avais imaginé la raison de leur rupture. En fait, c'est tellement moche que c'est encore plus prenant. D'ailleurs la fin est juste géniale et m'a faite tourner les pages à toute allure. Un autre détail m'a manqué quand même. Quelle est la réaction de Ed à la découverte de ce carton et de cette lettre et à la lecture ?

    En conclusion, j'ai passé un très bon moment, malgré quelques petits points noir et je suis ravie d'avoir découvert Daniel Handler dans ce registre là (il est l'auteur des Désastreuses aventures des orphelins Baudelaire sous le nom de Lemony Snicket).

     

    Merci beaucoup Lady-Citation pour ce LV !! :)

     

    Editeur :  Nathan

    Parution française : 2012

    Nb de pages : 368

    Prix : 18,50 €


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